Test⎜GPS Garmin Edge 1040 Solar : le roi de l’autonomie
Par Olivier Béart -
Le Garmin 1040 est le porte-drapeau de la gamme GPS vélo de la marque américaine. Il remplace le Edge 1030, déjà très apprécié tant par les amateurs d’aventure grâce à son grand écran que par les férus d’entraînements pointus qui aiment ses fonctionnalités multiples. Avec le 1040, Garmin a voulu à la fois rendre son haut de gamme plus facile d’utilisation et encore plus versatile, tout en dopant son autonomie grâce à l’arrivée d’une version Solar. Voilà qui méritait bien un test détaillé !
Avant de commencer l’essai du GPS Garmin Edge 1040, permettez-nous une petite précision : si nous voulons ici vous proposer un test le plus complet possible, nous n’allons pas rentrer ici jusque dans le moindre petit sous-menu. Sur une machine aussi pointue, ce serait surtout risquer de perdre 95% d’entre vous avant même d’avoir atteint la moitié de l’article. Nous allons donc ici avant tout pointer les évolutions par rapport au Edge 1030 et les fonctions qui nous semblent les plus importantes dans le cadre d’un usage VTT.
Châssis : en terrain connu
Rien de révolutionnaire du côté du chassis, qui adopte un design similaire à ce à quoi Garmin nous a habitués ces dernières années. On est sur la base d’un écran tactile de 88,9mm de diagonale (3,5 pouces) et d’une résolution 282×470 pixels, identique à celle du 1030. Sur les côtés, on trouve trois boutons (un sur le côté droit, deux sur le bas).
Attention toutefois, l’écran de la version Solar du Edge 1040 est quant à lui un peu différent, puisqu’il intègre de petits panneaux solaires sur son pourtour. Cela n’impacte pas la taille de l’écran en lui-même, puisque cette surface est prise sur le bord noir tout autour. Cette nouveauté mérite qu’on s’y attarde. Garmin propose déjà depuis un moment des montres à recharge solaire, mais c’est une première sur un GPS vélo.
Assurément, d’autres modèles devraient suivre car, comme l’écran d’un GPS vélo est naturellement et quasi en permanence orienté vers le haut une fois qu’il est placé sur le poste de pilotage, l’efficacité énergétique des panneaux est bien meilleure que sur une montre portée au poignet et qui ne cesse de bouger… quand elle n’est pas cachée par la manche d’un vêtement long. Nous reviendrons sur cette fonctionnalité plus en détails dans la partie test terrain car elle est particulièrement intéressante… et efficace !
Côté design, il faut aller voir… la face arrière pour voir une autre belle évolution de ce Edge 1040. Le design a rencontré la durabilité : le support de fixation a troqué le plastique qui le composait sur l’ancienne génération pour se doter de métal. Ce choix, s’il permet d’obtenir une avancée non négligeable au niveau finition et solidité (un point faible par le passé), ne plombe pas pour autant le Edge 1040 sur la balance : celui-ci affiche un poids de 133g, soit seulement 7g plus lourd que le 1030 Plus.
A noter qu’on reçoit toujours son GPS dans une boîte pourvue d’une série de fixations et d’accessoires permettant de s’adapter à toutes les situations. De la simple attache plastique à fixer avec de petits élastiques jusqu’aux deux porte-GPS permettant un montage déporté, on a de quoi faire. Par contre, ces accessoires font aujourd’hui un peu datés et quand on voit les beaux porte-GPS en alu usiné proposés par de nombreux accessoiristes, on se dit que Garmin a du retard en la matière et pourrait proposer des accessoires modernisés/plus qualitatifs au moins sur ses modèles haut de gamme.
Fonction GPS : des menus touffus mais plus ergonomiques
Une fois allumé, le Edge 1040 propose une interface renouvelée. A l’image de ce qu’on retrouve sur certains smartphones, l’écran d’accueil est ainsi composé de widgets personnalisables. Ce changement n’a pas emporté avec lui pour autant la disparition des profils : toujours bien pratique d’avoir des affichages et des réglages respectifs en fonction de la pratique ou du vélo du jour (VTT, gravel, indoor, route, etc).
De manière globale, on constate que l’ergonomie de navigation dans les menus a été simplifiée. Ce qui n’est pas une mince affaire sur un « device » qui propose autant d’options que celui-ci. On n’est pas encore sur un GPS « plug and play », mais on peut sans problème commencer à utiliser le Garmin Edge 1040 sans lire le mode d’emploi du début à la fin et sans se farcir des heures de tutos vidéo. La fonction tactile et les boutons virtuels bien agencés dans les différents menus aident aussi à s’y retrouver facilement. Les utilisateurs aguerris de Garmin ne seront pas perdus, mais les novices trouveront l’ensemble un peu plus convivial.
Le Edge 1040 est un GPS complet, et sa compatibilité avec les grands systèmes de localisation en atteste : GPS, Glonass, Galileo et même GNSS multibande, qui est une grande nouveauté sur ce GPS dernière génération et propre à Garmin jusqu’à présent. Si ce GNSS multibande est l’option idéale pour des sorties VTT en haute-montagne, il est aussi le plus gourmand en énergie. En effet dans cette configuration, le Edge 1040 utilise en plus des 3 systèmes précités une seconde fréquence sur les satellites GPS afin d’en améliorer la précision.
Au niveau de la connectivité, le Edge 1040 est compatible ANT et ANT+, mais propose également le Bluetooth ainsi que le WIFI. Si la connexion Bluetooth permet l’affichage des notifications du téléphone directement sur le GPS lors de la sortie, elle rend également possible la fonction d’affichage étendu, qui consiste à retrouver les écrans de données d’une montre connectée de la marque directement sur le GPS. Il est évidemment possible de coupler sa transmission Sram AXS ou Shimano Di2, mais aussi son radar Garmin Varia, son home-trainer et éventuellement un dispositif audio.
Garmin a fait plusieurs optimisations au niveau software qui permettent, in fine, une légère amélioration globale des performances et de l’autonomie
A noter qu’au niveau du processeur, Garmin a conservé le même que sur le 1030 Plus. Celui-ci, qui avait marqué une évolution importante par rapport au 1030 qui était criticable pour sa lenteur, a été jugé encore tout à fait dans le coup pour supporter les fonctionnalités du 1040. Il est vrai que nous n’avions jamais eu de critique à faire sur son prédécesseur (le 1030 Plus) à ce niveau (vitesse d’exécution, affichage, réactivité globale, etc), du moins par rapport à d’autres GPS vélo. Garmin a par contre fait plusieurs optimisations au niveau software qui permettent, in fine, une légère amélioration globale des performances et de l’autonomie du 1040 grâce à une meilleure efficacité énergétique de plusieurs fonctionnalités. Concrètement, même si on n’est peut-être pas au niveau de vitesse d’autres appareils électroniques type smartphone ou tablette, nous n’avons jamais eu l’impression d’être pénalisés à ce niveau et de devoir subir des lenteurs agaçantes.
Garmin maintient le « MTB Dynamics« , à savoir une fonction dédiée au VTT qui se compose d’une mesure du nombre et la distance des sauts effectués sur le parcours, le « Grit » (sorte de facteur de difficulté du parcours basé sur la vitesse des ascensions/descentes et l’angle des virages rencontrés durant la sortie…) et finalement un score général du flow maintenu durant l’entièreté de la sortie. Si ces fonctions peuvent être très accessoires pour la majorité d’entre nous, elles ont le mérite d’exister. Par contre, Garmin a décidé de supprimer la fonction « détection de chutes » des profils VTT de son Edge 1040 en raison d’un nombre trop important de fausses alertes.
Fonctions compteur / entrainement
Si les anciennes générations de Garmin Edge étaient déjà de véritables alliés dans une préparation physique et très utiles pour les pilotes désireux de surveiller leur état de forme, la marque américaine tenait à proposer des fonctionnalités supplémentaires sur cette nouvelle version. Ainsi, au-delà des habituels profils d’activités, du suivi dynamique des performances, du training effect, des entrainements personnalisables, etc… Garmin propose ici une fonctionnalité totalement inédite : la fonction Stamina.
Il s’agit d’un algorithme estimant l’endurance sur base des activités antérieures et des données en temps réel fournies par la ceinture cardiaque (indispensable, ou à tout le moins une montre connectée Garmin) et un capteur de puissance (hélas lui aussi indispensable, ce qui va entraîner un surcoût substantiel pour pouvoir bénéficier de cette fonction). Sous forme de temps de récupération, de pourcentage ou de distance, cet indicateur a pour but d’informer le pilote sur ses réserves d’endurance disponibles, avec une information qui s’adapte au fur et à mesure de la sortie et au fil des changements de rythmes.
Et il est vrai que le Edge 1040 a de solides arguments dans ce domaine de la gestion d’activités et de l’effort. Notamment avec la fonctionnalité ClimbPro qui permet d’afficher la distance et le degré des ascensions à venir sur le parcours, les alertes d’alimentation et d’hydratation, ou encore le « guide de puissance » qui affiche des zones de puissance recommandées afin de gérer idéalement son effort.
Stockage
Si le 1030 Plus proposait 32 Go de stockage interne, pas de changement du côté du Edge 1040 où il est encore nécessaire de sélectionner, parmi les cartes pré-installées par Garmin, celles qui nous intéressent. Voilà qui met en lumière un gros point fort de la version solaire du 1040 où le stockage est doublé par rapport au 1040 classique. Il n’est dès lors plus nécessaire d’effectuer des choix de cartographie, l’entièreté des cartes de chez Garmin sont installées sur les 64 Go de cette version solaire du Edge 1040.
Système de fixation
Comme expliqué précédemment, l’arrière du Edge 1040 et en particulier sa fixation sont désormais en métal. Si Garmin a fait évoluer le matériau de ce système de montage, l’interface reste pourtant techniquement la même et est donc complètement compatible avec les supports des anciennes générations.
Autonomie / accessoires
Commençons par la version classique (non solaire) du 1040. En utilisation GPS, le 1040 est annoncé à 35 heures d’autonomie, là où le 1030 en annonçait 24. Pourtant, la batterie passe de 1900mWh à 1800mWh, mais l’optimisation des softwares et quelques changements internes ont permis de faire baisser la consommation électronique du petit nouveau. Il aussi possible de monter jusqu’à 70 heures en réduisant le nombre de capteurs et les options de rétro-éclairage de l’écran. Dans un objectif d’autonomie maximale, le 1040 peut tenir jusqu’à 90 heures avec son mode « économique ». Pour rappel et pour comparaison, un Edge 830, plus petit, annonce 20h d’autonomie maximum.
Au niveau de la recharge, on remarquera la disparition du port micro-usb qui laisse place à un chargeur en usb-c bien plus pratique et répandu à l’heure actuelle. On peut aussi connecter son GPS au support/batterie externe de Garmin pour encore accroître l’autonomie.
En version solaire, tout dépend évidemment des conditions climatiques et de luminosité, mais Garmin annonce une autonomie allant de 45 dans les cas les plus défavorables à plus de… 180h en mode « éco » ! Des chiffres impressionnants, qui demandent bien sûr à être vérifiés sur le terrain (voir plus loin) mais qui placent clairement le Garmin Edge 140 Solar tout en haut de la hiérarchie à ce niveau !
Tarif
Toutes ces riches fonctionnalités ont bien évidemment un prix, qui est celui d’un des GPS les plus haut de gamme du marché, qui s’adresse à un public pointu et exigeant. La version classique est affichée à 599,99€, à comparer avec les 550€ demandés pour le Edge 1030 Plus à sa sortie en 2020. Quant au Garmin Edge 1040 Solar, il est commercialisé à 749,99€, ce qui est un supplément conséquent. Mais, comme nous le verrons lors du test terrain, cette fonctionnalité peut vraiment mériter l’investissement dans le cadre de certaines utilisations.
Garmin Edge 1040 Solar : le test terrain
Quand on sort le Garmin Edge 1040 de sa boîte, on perçoit directement un joli petit saut au niveau de la qualité perçue. Le pourtour en finition métallique et surtout la nouvelle interface d’accroche à l’arrière font vraiment haut de gamme. La taille du GPS est imposante mais si on veut un grand écran, il n’y a pas vraiment le choix. L’ensemble reste léger et visuellement assez fin, ce qui est le plus important.
Au fil du test qui s’est étalé sur 3 mois et qui a été mené dans des conditions très variables (pluie, boue, poussière, chaleur intense), nous n’avons pas noté la moindre griffe sur le Edge 1040, ce qui tend à montrer une belle robustesse, synonyme de durabilité. Le 1030 était déjà plutôt bon dans ce domaine, mis à part son interface de montage en plastique dont la fragilité a parfois pu causer des soucis par le passé, et comme le 1040 a corrigé ce point, on peut s’attendre à ce que le petit nouveau puisse s’envisager comme un investissement sur le long terme.
Si nous aimons bien utiliser des GPS dans l’équipe, nous ne sommes pas spécialement des « geeks » et la simplicité d’utilisation est clairement un critère important à nos yeux. A ce niveau, tout en reconnaissant les performances des GPS Garmin et leur caractère ultra-complet, nous avions parfois tendance à nous perdre lors de l’utilisation. Et à préférer des modèles plus simples comme en propose Wahoo par exemple, qui renvoient toutes les opérations un peu complexes vers une application smartphone, histoire de conserver le GPS le plus simple possible à l’utilisation au quotidien.
Même si on reste sur une interface assez touffue et sur un GPS qui se veut doté d’un maximum de fonctionnalités, il faut reconnaître que l’ergonomie générale de navigation dans les menus a été bien améliorée sur le 1040. C’est parfois une affaire de détails, mais nous avons eu l’impression d’avoir entre les mains un device plus convivial et agréable à utiliser que par le passé. Bon, on a toujours un peu la sensation de n’utiliser que la moitié de ses capacités réelles, un peu comme sur un smartphone haut de gamme, mais on salue l’effort de Garmin pour rendre plus accessible ce GPS haut de gamme. Espérons que la marque poursuive encore dans cette voie à l’avenir.
Le couplage avec autres accessoires Garmin et son smartphone se fait aussi très facilement, sans aucun raté, ce qui participe également au confort d’utilisation. Ce n’est pas encore au niveau d’Apple, mais c’est plutôt bien quand même ! La sensibilité de l’écran tactile est également remarquable, et même la présence d’eau sur l’écran ne perturbe la navigation que de manière très marginale. L’écran très lisse est naturellement déperlant, ce qui aide bien quand les conditions sont humides.
Par contre, gare à l’orientation de ce même écran quand il y a beaucoup de changements de luminosité (forêt par un jour ensoleillé par exemple) car la finition brillante est très réfléchissante, ce qui peut nuire à la lisibilité. Ecran mat ou brillant… les deux ont des avantages et des inconvénients, et on se dit qu’un traitement anti-reflets haut de gamme permettrait peut-être d’améliorer cela chez Garmin.
Pour la partie GPS, tant l’enregistrement des données que la navigation sont au-dessus de tout reproche. Les fichiers .gpx extraits sont précis et en lecture, le grand écran au fond de carte très clair font des merveilles. C’est assurément un des meilleurs GPS du marché pour qui aime suivre des traces, y compris en VTT sur de petits singletracks en pleine forêt. D’autant que les pertes de signal sont rarissimes, pour ne pas dire inexistantes. Bref, à ce chapitre, on frise le sans-faute.
Pour ce qui est des fonctions type compteur et entraînement, outre la personnalisation très facile de l’affichage selon ses envies, on profite là aussi d’un affichage clair et précis des données. Mais là, il se démarque moins de la concurrence. Au niveau des fonctionnalités spécifiques, si les données « Grit » et « Flow » orientées VTT relèvent selon nous du gadget, il n’en va pas du tout de même du nouvel indicateur « Stamina » qui nous a paru être un vrai bon indicateur de l’énergie restante dans votre organisme.
Vous voyez le niveau de batterie pour un vélo à assistance électrique ? Eh bien là en gros, « Stamina », c’est la même chose mais pour votre organisme, avec un indicateur à court terme (qui vous permet de voir par exemple quand vous avez récupéré entre deux sprints) et un autre plus orienté long terme (qui donne plus le niveau d’énergie global qu’il vous reste). Pour quelqu’un qui ne connaît pas parfaitement son organisme et qui a peur du coup de mou car il ne dose pas bien ses efforts, et même pour un biker chevronné qui veut une confirmation de ses sensations, c’est vraiment à nos yeux une fonction intéressante. A noter que nous l’avons utilisée avec une simple ceinture cardio, et que la précision est encore améliorée par le recours à un capteur de puissance.
Enfin, nous avons gardé le meilleur pour la fin : l’autonomie. Qui est tout simplement… incroyable. Pour que vous vous imaginiez, en trois mois de test et plus de 1000 km, nous avons branché en tout et pour tout… deux fois le GPS sur une prise électrique ! Par une journée ensoleillée dans le Sud, nous avons fait des sorties de plus de 7h sur le vélo lors desquelles le niveau de batterie a baissé de moins de 5% ! Même par temps couvert ou sous la pluie, quand le solaire n’est que d’un apport tout relatif, le Garmin Edge 1040 se montre particulièrement frugal en consommation d’électricité. Sans soleil, avec simplement des fonctions « compteur », les 35 heures annoncées par Garmin sont tout à fait réalistes et on monte facilement à 45/50h dès qu’il y a un peu de luminosité. En conditions optimales d’ensoleillement, en mode eco, on peut même tabler sur une autonomie quasi « infinie ». Et même dans les cas les plus défavorables (maximum de capteurs, navigation GPS en région difficile, faible luminosité), 20 à 25h d’autonomie semblent réalistes. Voilà un atout indéniable pour les aventuriers et les cyclistes qui roulent énormément sans avoir envie de recharger tout le temps leur GPS. Et à ce niveau, le Garmin Edge 1040 enterre littéralement la concurrence.
Verdict
Le Garmin Edge 1040 prend l’excellente base de son prédécesseur, le 1030, avec quelques améliorations stratégiques bien pensées. Au niveau « hardware », c’est le cas du système de fixation, désormais en métal, bien plus robuste, qui est une belle avancée. La navigation un peu simplifiée dans les menus est aussi une avancée intéressante, tout comme l’arrivée de la fonction « Stamina » qui est bien plus qu’un gadget. Mais là où le Edge 1040 est un véritable « game changer », c’est dans sa version Solar à l’autonomie tout simplement impressionnante. Si vous possédez déjà un 1030/1030+, l’upgrade n’est peut-être pas indispensable car c’est plus une évolution qu’une révolution en passant sur le 1040… sauf si cette fameuse fonction de recharge solaire assez bluffante vous apporte une réelle plus-value. Avec cette version, Garmin dispose d’un véritable avantage stratégique sur ses concurrents, du moins pour l’instant, et la marque garde son avance sur le segment de plus en plus concurrentiel des GPS haut de gamme.
Plus d’infos : https://www.garmin.com/fr-BE/p/731136
Garmin Edge 1040 Solar
599,99€ (classique) - 749,99€ (solar)
133g
- Autonomie incroyable et option solaire très efficace
- Ergonomie plus conviviale des menus
- Interface de fixation en alu, coque plus solide
- Fonction "stamina" pertinente et utile
- Qualité/raffinement des accessoires de fixation fournis, en-dessous de ce que proposent les marques tierces
- Fonctions VTT grit/flow sans grand intérêt
- Tarif salé
- RAS
Évaluation des testeurs
- Prix d'excellence
- Coup de coeur
- Rapport qualité / prix