Bailly-Maître remporte l’Enduroc
Par Christophe Bortels -
L’Enduroc n’est pas la course la plus médiatisée du Roc d’Azur, mais elle fait généralement le plein de concurrents. Cette année, l’épreuve affichait d’ailleurs à nouveau complet, ils étaient donc pas moins de 400 au départ. Parmi eux, quelques grands noms de la discipline : Fabien Barel, François Bailly-Maître, Thomas Lapeyrie, Karim Amour, etc. Voici notre portfolio mêlant stars et « anonymes », pour le plaisir des yeux !
Le vainqueur du jour : François Bailly-Maître, qui s’impose avec une seconde d’avance seulement !
Matthieu Ruffray en action dans les cailloux fuyants qui ont poussé à la faute bon nombre de pilotes…
2e en 2015, le Suisse Nicola Rohrbach a cette fois pris la 9e place.
Sofia Wiedenroth, l’une des rares femmes au départ.
Les liaisons de l’Enduroc sont souvent physiques, obligeant parfois à pousser le vélo…
… ou à le porter !
Superbe 2e place pour Kevin Miquel.
On ne peut qu’apprécier la qualité de déhanché de Lancelot Gauran !
Vous avez trouvé le pilote ? Bon ok, c’était facile…
Vainqueur de la coupe de Belgique d’enduro cette saison, Julien Soussigne prend la 14e place de l’Enduroc. En 2015 il avait fait encore mieux en terminant 6e.
Son co-équipier Nicolas Daniels, 15e, termine juste derrière lui.
Il n’y a pas qu’en liaison qu’il faut parfois descendre du vélo…
Contourner ou enrouler l’obstacle ? Enrouler évidemment ! Pour Johann Lamy du moins, mais pas pour tous…
Alexis Bosso en action au même endroit, lui aussi en mode survol.
Le genre de tenue que les photographes apprécient particulièrement. Bien joué Julien Stenger !
Joli style pour Gael Mahe.
Qu’on se rassure, le pas tout à fait retraité Fabien Barel n’a rien perdu de son bon coup de guidon. Il monte sur la 3e marche du podium.
L’UCI aurait-elle organisé un championnat du monde d’Enduro à notre insu ? C’est en tout cas ce que pourrait laisser penser ce maillot arc-en-ciel arboré par Joffrey Thevenon sur cet Enduroc !
Fred Duret dans l’entrée d’une très belle section technique de la SP3…
… et Alain Sala qui opte pour la variante difficile en sortie de cette même section. La chicken way est visible à droite de l’image.
Il avait gagné l’épreuve en 2015, cette fois ci Thomas Lapeyrie échoue au pied du podium : 4e…
… tandis que Karim Amour, fidèle de l’épreuve, s’empare de la 5e place.
Résultats complets ICI